Cela fait du buzz en ce moment, Google sort son navigateur Google-Chrome, et pour l’illustrer l’annonce est faire sous forme de BD!!
Premièrement, j’adore la style « BD », car comme on le dit : « un schéma vaut parfois mieux qu’un long discours ». Et on comprend tout de suite ce qu’ils veulent dire quand on voit la représentation « imagé ».
J’aime bien donner mon point de vue, et je vais surtout m’attarder sur l’aspect « interface utilisateur » et « Web vs Desktop ».
Il y a des astuces que j’estime devoir propager sur Internet, car ça peut éviter quelques arrachages de cheveux.
Symptôme: quand on souhaite démarrer IIS (6), ce dernier plante avec l’erreur « Une erreur 0x8ffe2740 inattendue s’est produite« .
Après 4 ans de développement, la communauté Mono est enfin parvenu à l’implémentation complète des Winforms : http://tirania.org/blog/archive/2008/May-13.html
On peux se demander « oui, mais pourquoi faire? » et je ne trouve pas de réponse à la question. En effet, il arrive souvent qu’une application .Net possède du Legacy et donc des dépendances COM ou P/Invoke. Dans ce cas, on ne peut pas la migrer (pour tester si une migration est possible: http://www.mono-project.com/Moma)
Mais comme je suis exigent en terme d’interface, je n’aime pas avoir une application « alien » qui ne ressemble pas à mon environnement Linux (GTK/QT). Certes, il est prévu d’avoir un meilleur support du moteur de thème lors du prochain GSoC, donc wait and see.
Rappelons que les Winforms sont une sur-couche .Net de l’API WIN32. Cette dernière n’existant pas sous Linux et MacOS, j’en profite alors pour féliciter les équipes de Mono pour leur implémentation « from scratch ».
D’un autre coté, l’implémentation WPF chez Mono avance plutôt vite. D’ailleurs, la première release de Moonlight vient de sortir. Il n’y a pas de dépendance WIN32 dans ce cas, et je vois plus l’avenir des applications .Net dans ce sens. Mais l’approche WPF est d’avoir un thème propre à l’application, comme c’est le cas pour les sites Web, on obtient la même interface sous Linux et Windows (et MacOS). Mais finalement je trouve que ces interfaces ne s’intègrent à aucun des 3 environnements.
J’ai eu une discutions intéressante ce midi au sujet du buzz en ce moment: Adobe open-source Flash! Je vois ça comme un premier pas vers la conquête du Web 3.0. Une guerre déjà entamé entre Adobe, Microsoft et le monde libre.
Je viens de découvrir Flock, qui est un navigateur Web basé sur Firefox avec un skin et des plugins par défaut.
Ce navigateur est bien sympathique et sera sans doute adopté par de nombreux jeunes pas forcement pro en informatique. En effet, pas besoin d’aller chercher LE plugin parmi l’océan de plugins existants… de base, Flock permet de rédiger des billets de son blog, de consulter et insérer ses images de Flickr, de lire les news RSS etc.
Blogged with Flock
Il existe de nombreux lecteurs RSS, mais c’est Liferea que j’utilise le plus.
En effet, celui-ci permet d’importe/exporter les lien des flux vers un fichier OPML, il permet de présenter les flux sous forme classique (comme pour les emails, liste des titres et corps de celui sélectionné), mais aussi sous le forme d’une page unique. Il s’intégre bien dans mon environement Gnome, puisqu’il est fait en GTK, et il offre la possibilité de choisir le moteur de rendu HTML (GtkHTML ou Gecko de Mozilla).
Bien évidement, ce n’est pas le seul lecteur RSS que j’ai testé, et il mérite un coup d’oeil :
Comme vous le savez, Opera n’est plus payant (ni même sans pub) depuis longtemps, et dans sa version 9 sera compatible « Acid test« . De plus, Opera contient vraiment des fonctionnalités qui me plaise :
Bref, Opera m’a forgé une expérience de navigation, et m’a habitué à des fonctionnalités dont je ne peux plus m’en passer. C’est pour cela que j’ai fait un peu de recherche pour avoir les même fonctionnalités dans Firefox (que j’apprecie aussi beaucoup pour son caractère libre).
Alors voici quelques extensions que je vous conseil :
Ceci est mon premier billet sur WordPress… et pour inaugurer la catégorie des outils sous linux, je commence par Drivel qui m'a permit d'écrire ce billet.
The World is mine 